Sécuriser l’accès aux environnements numériques est essentiel pour protéger les données sensibles, les systèmes, …
et garantir une utilisation responsable des technologies.
Phishing, keyloggers, attaques par force brute.
Exploitation des mots de passe faibles ou réutilisés.
Usurpation d’identité grâce à des données personnelles divulguées.
Les attaquants accèdent à des comptes disposant de droits élevés pour compromettre davantage les systèmes.
Absence de journalisation et suivi des connexions.
Perte de données sensibles.
Compromission des systèmes et réseaux.
Atteinte à la réputation et sanctions juridiques (non-respect du RGPD).
Ce que vous savez : mot de passe.
Ce que vous avez : token, application mobile (Google Authenticator, Yubikey).
Ce que vous êtes : biométrie (empreintes digitales, reconnaissance faciale).
Renforce la sécurité même en cas de compromission d’un mot de passe.
Génération et stockage de mots de passe robustes.
Exemples : Bitwarden, LastPass, 1Password.
Éviter la réutilisation des mots de passe pour différents comptes.
Appliquer le principe du moindre privilège : donner uniquement les droits nécessaires.
Révoquer rapidement les accès inutilisés (employés partis ou changements de poste).
Journaux d’accès pour suivre les connexions suspectes.
Alertes en cas de tentatives d’accès anormales.
Minimum 12 caractères avec majuscules, minuscules, chiffres et symboles.
Passphrases (ex. : "Mon_Ch4t_Est_G3nial!").
Notamment pour les comptes administrateurs ou les systèmes sensibles.
Ne pas partager ses mots de passe.
Ne pas les stocker dans des fichiers texte non protégés.
Chiffre les connexions Internet pour sécuriser les accès à distance.
Utiliser des protocoles sécurisés (SSH au lieu de Telnet, HTTPS au lieu de HTTP).
Configurer des pare-feu pour limiter les connexions non autorisées.
Restreindre les connexions aux IP ou zones géographiques approuvées.
Installer les mises à jour de sécurité des OS, navigateurs, et applications.
Activer les mises à jour automatiques.
Activer le chiffrement des disques (BitLocker sur Windows, FileVault sur macOS).
Installer un antivirus et une solution EDR (Endpoint Detection and Response).
Configurer un délai de verrouillage court (ex. : 2-5 minutes d’inactivité).
Utiliser des méthodes de déverrouillage sécurisées (codes PIN, biométrie).
Reconnaître les emails et liens de phishing.
Comprendre l’importance des mots de passe complexes et uniques.
Informer sur les conséquences des mauvaises pratiques.
Encourager l’utilisation des outils recommandés (gestionnaires de mots de passe, VPN).
Campagnes simulées de phishing pour évaluer la vigilance.
Évaluation périodique des pratiques d’accès des utilisateurs.
Établir des règles pour la création, l’utilisation et la gestion des mots de passe.
Inclure des directives sur l’accès à distance et l’utilisation des dispositifs personnels.
Définir des groupes avec des permissions adaptées (ex. : utilisateurs standards, administrateurs, invités).
Vérifier régulièrement les droits d’accès et les révoquer si nécessaire.
Utiliser des outils comme Active Directory ou LDAP pour centraliser et contrôler les accès.
Activer la journalisation sur les serveurs, applications, et systèmes critiques.
Analyser les logs pour détecter les connexions suspectes.
Effectuer des audits périodiques pour identifier les failles dans les configurations ou les pratiques d’accès.
SIEM (Security Information and Event Management) pour corréler les événements et identifier les anomalies.
Utiliser des technologies modernes comme WebAuthn ou FIDO2.
Les utilisateurs s’identifient avec des dispositifs physiques (clé de sécurité) ou biométrie.
Surveiller et contrôler les accès des comptes privilégiés.
CyberArk, BeyondTrust.
Détecter les tentatives de force brute ou les activités suspectes avant qu’elles ne compromettent un système.