Un réseau Wi-Fi ouvert, accessible sans mot de passe, peut présenter de nombreux dangers pour les utilisateurs.
Un attaquant positionné entre vous et le point d’accès peut intercepter les données transmises, …
telles que les identifiants, mots de passe, et informations sensibles.
Utilisation d’outils comme Wireshark pour capturer le trafic réseau.
Injection de scripts malveillants dans les sites visités (par exemple, redirection vers des pages de phishing).
Un attaquant crée un point d’accès malveillant ayant un nom similaire ou identique à celui d’un réseau légitime.
Les utilisateurs se connectent par erreur au réseau de l’attaquant.
L’attaquant peut intercepter, modifier ou injecter des données.
Les données transmises sur un réseau Wi-Fi non sécurisé ne sont pas chiffrées.
Les informations sensibles (emails, mots de passe, données de paiement) peuvent être lues en clair par quiconque surveillant le réseau.
L’attaquant utilise le réseau ouvert pour distribuer des logiciels malveillants …
soit par injection dans le trafic réseau
soit via des notifications trompeuses demandant des mises à jour logicielles.
Fenêtres contextuelles prétendant être des mises à jour critiques du système ou des applications.
Les cookies de session non sécurisés transmis sur le réseau peuvent être interceptés, …
permettant à l’attaquant d’usurper votre identité sur des services en ligne (emails, réseaux sociaux).
Firesheep, une extension de navigateur utilisée pour capturer des cookies.
Si le partage de fichiers ou de dossiers est activé sur votre appareil, les attaquants peuvent accéder aux données partagées.
Vol d’informations personnelles ou sensibles.
Les appareils connectés au réseau ouvert peuvent être directement ciblés via des vulnérabilités connues (ex : ports ouverts, services non sécurisés).
Exploitation des failles pour voler des données, installer des logiciels malveillants ou prendre le contrôle du dispositif.
Chiffre le trafic réseau et le rend illisible pour un attaquant.
NordVPN, ProtonVPN, CyberGhost.
Vérifiez que les sites affichent le cadenas dans la barre d’adresse.
Installez des extensions comme HTTPS Everywhere pour forcer les connexions sécurisées.
Paramètres réseau → Désactiver "Partage de fichiers et d’imprimantes".
Préférences système → Partage → Désactiver tous les services inutiles.
Empêche votre appareil de se connecter automatiquement à des réseaux Wi-Fi connus.
Désactivez l’option "Se connecter automatiquement" pour les réseaux publics.
Évitez de consulter vos comptes bancaires, d’effectuer des achats en ligne, ou de saisir des mots de passe sensibles sur un réseau ouvert.
Activer le chiffrement du disque avec BitLocker (Windows) ou FileVault (macOS).
Utiliser des gestionnaires de mots de passe avec chiffrement (ex. : LastPass, Bitwarden).
Vérifiez que le pare-feu de votre appareil est activé.
Paramétrez des règles pour limiter le trafic non sollicité.
Assurez-vous que votre appareil est protégé par des outils de sécurité à jour.
Kaspersky, Norton, Malwarebytes.
Fermez les ports ouverts sur votre appareil via les paramètres système ou des outils comme Netstat.
Assurez-vous de vous connecter au réseau légitime, et non à un point d’accès malveillant.
Si possible, utilisez votre connexion mobile via un partage de données (tethering) au lieu de vous connecter à un réseau Wi-Fi ouvert.
Installez les mises à jour des systèmes d’exploitation et des applications pour corriger les failles de sécurité.
Les connexions 4G/5G personnelles sont généralement plus sûres qu’un réseau Wi-Fi ouvert.
Préférez les réseaux avec des protocoles de chiffrement modernes (WPA3 ou WPA2).